Une fois n'est pas coutume, Les Bisons se trouve dans une Ligue à 6 équipes lorsque la saison 76 débute.

Et quelques éléments se font remarquer : Jean-Luc Bony et Antoine Beauvais ont les potentiels les plus intéressants avec de la Construction, du Buteur, tout se qu'il faut pour en faire des Défor.

Bacem Lahmar est là lui aussi, mais clairement en dessous, mais le coach l'aime bien, et puis le jeune Jacky Didelot réalise de belles perfs pour ses premiers matchs en temps qu'ailier.

Et c'est un nouveau titre pour les Bisons qui se hissent sur la plus haute marche après avoir résisté au retour du Real Power.

De nouveau titrés, les Bisons commencent  à avoir les chevilles qui gonflent. Et les nouveaux plans du Coach chez les A laissent espérer beaucoup de Bisons. Certains seront déçus, comme Ly Tuan Hiêp, chèvre en chef, qui pense qu'un nom exotique peut faire oublié ses lacunes techniques.

 

Au moment d'aborder une nouvelle ligue, à 4 cette fois-ci, l'équipe est dénuée de talents. Bony, Lahmar et Beauvais ont été promus, Didelot est seul sur son aile pour distiller des centres millimétrés qui ne trouvent personne... La faute à un nouveau plan de formation où la défense est privilégiée.

 

Wael Jabnoun se fait remarqué, ce qui n'évite pas à la défense de prendre l'eau : 13 buts en 4 matchs.

Didelot est promu, mais la relève se fait cruellement attendre. Jabnoun vieilli vite, et son potentiel hono en défense n'enraille pas le doute qui s'immisce dans la tête du coach. Ambroise Touzeau fini son entraînement Défense avec un niveau passable, mais David Quinet claque 5 étoiles pour son premier match en Défense : potentiel hono également, mais avec beaucoup plus de temps pour finir sa formation. Pour en ajouter une couche, le tirage amène un honorable Buteur dans l'effectif, histoire de troubler encore un peu plus le coach...

 

Avant d'aborder son dernier match, crucial pour les supporters qui ne supporteraient pas de finir une ligue avec 1 petit point et 5 défaites, l'équipe est sur le pied de guerre. Rudy Boully, et son nom de mascotte, éternel espoir découvert trop tard, se place en attaque, sur l'aile, prêt à recevoir les passes de ses acolytes latéraux, Alexandre Lombart et Jean-Bapt' Lambrecht.

Et l'honneur fût sauf. Une victoire à l'italienne, tous derrière, pas de milieu, et deux ailes qui dominent. Pourtant, il faut un penalty tiré par les cheveux, et par Lambrecht, pour que les Bisons passent en tête et ne la quittent plus jusqu'à la 90ème.

 

Une victoire qui ne change rien, l'équipe termine à une piètre 4ème place mais avec 4 point et une victoire.

 

Une fois la victoire acquise, l'équipe s'engouffre dans le bus et ne demande pas son reste. Et pour cause, les supporters adverses sont bien remontés. Cette défaite injuste, ou injustifiée, fait raté le titre à leur équipe.

Pour la poule suivante, l'équipe déménage en pleine Pampa, en Argentine, terre d'un certain Diego Maradona, qui décède peu de temps après leur arrivée. Peut-être le premier signe d'une saison compliquée ?

Les Bisons retrouve leurs meilleurs ennemis, les petits PACO, déjà rencontrés en amical (2 victoires). Mais là, c'est en ligue et c'est sur du long terme que s'annonce la joute.

Nouvelle poule, nouveau défi, mais même situation compliquée.

 

Avec plusieurs "talents" en Défense, l'organisation sur le terrain s'impose d'elle même, et s'impose au coach. Ce sera donc un 541, où l'attaque est mise entre parenthèse. C'est pourtant en marquant que l'on gagne des matchs...

 

Après la déroute du premier match, les deux nuls contre Discovery et Paco préservent l'espoir de l'équipe. Mais le 1-6 contre les Zizous et surtout le 0-4 contre Paco hypothèquent toutes chances de bien figurer au classement. Le match retour contre Discovery est joué en 550, routine inconnue par les joueurs.

Par contre, elle connait bien - encore, malgré le long passage en 541 - le 253. Jabnoun est maxé en Défense, Touzeau bientôt promu alors c'est Lombart, et son potentiel B7, qui devient une priorité.

Et ça a une conséquence, d'une pierre deux coups, les filets adverses et les cordes vocales des supporters tremblent à l'unisson : 6-3.

 

Pour le dernier match de la poule, contre le leader, le coach garde cette composition et envoie Paco au sommet du classement.