Retour en D.VI donc... Avec une équipe taillée pour la D.V.

 

L'entraînement Ailier se poursuit avec Laporte, Willizkat, Cvitkovic et Literskis. Vieira, Montejano et Gasbarra joueront comme latéraux.

 

Et il reste une place...

Pour compléter l'entraînement, le vieux Jesus Pereira prend place en défense, en attendant mieux.

Au bout de quatre matchs, quatre victoires mais l'équipe perd Olesen, sa pièce maîtresse au milieu et tireur de CF. Andraccio, relégué au banc après la titularisation de Betencourt, joue les bouche-trous.

 

Toujours en vue de rajeunir l'équipe et d'amener un peu de talent en attaque, l'équipe fait venir Mohie Amin, un cousin éloigné de l'égyptien Mido, ancienne gloire de l'OM.

 

Bientôt 29 ans, 4,3M, B13, A10, CF10, C7, P7

 

Un milieu, Jérôme Granier, arrive dans l'effectif. Un bon milieu, le remplaçant de Olesen ou de Giesen, à l'époque.

 

30ans, 5M, 113k de TSI, C15, D13, CF19, bim !

Pour son premier match, le troisième tour de la Coupe, Amin est titulaire et est remplacé par Radoslaw Polit, sans avoir pu trouvé la faille dans la défense adverse. L'équipe sort de la Coupe avec quelques regrets.

 

De nouveau titulaire en Ligue, l'égyptien claque un quadruplé et participe grandement à la volée donné à Nuts Fox Gaming.

Quant à Granier, il claque un triplé : 2 pénaltys et un CF. Efficace le garçon.

Reversée en Trophée Saphir, l'équipe s'en sort bien au premier tour, sans trop dominé le milieu mais tous les autres compartiments. Le tour suivant est une formalité. Par contre, le tour suivant est un vol notoire. Tout cela n'aurait pas dû arrivé...

Le seul regret est de ne pas avoir inversé les deux ailes d'attaque... Mais c'est le seul !

 

Alors, l'équipe passe un tour de plus cette saison, mais ça méritait mieux. Et la suite de la saison nous fera regretter de ne pas avoir un peu plus forcé en Coupe...

 

Parce qu'elle va être très ennuyante cette saison, sans rebondissement, sans surprises.

Les attaquants enfilent les perles, les défenseurs, même vieux, ne laissent rien passé, les milieux, même vieux, dominent leurs adversaires, et les ailiers prennent du galon.

Après les Coupes, l'équipe est ébranlée. Ça se ressent dès le match contre Jourdain, où trois attaquants se blessent !

 

Racheter un attaquant ? Le président y pense, mais finalement Bethencourt se remet vite et pourra jouer avec Polit. Et Andraccio ? Aux abonnés absents, il n'est même pas sur les feuilles de match. C'est Paquis qui glane quelques minutes...

 

A défaut d'acheter ce qui représenterait un 6ème attaquant, ce qui serait superflu, le président débloque des fonds pour un investissement, un jeune espagnol, Américo Molino, 19 ans et demi, qui va récupérer quelques entraînements Ailier avant de, et c'est là la nouveauté, le tournant, de permettre un switch vers Construction !

La fin de Ligue est triste, non pas qu'elle soit teintée de défaites, bien au contraire, mais tout est déjà joué.

 

Roberto Andraccio se rappelle aux bons souvenirs du coach et colle un hattrick pour son premier amical. Mais ce sera son dernier fait d'arme. Enfin, peut-être pas...

Le dernier challenge, c'est de resté invaincu, ce qui semble plutôt abordable dans cette poule.

 

Mais c'est trop peu, alors l'autre challenge, ce sera trois matchs contre le FC paco (ou paco)

Pour la première rencontre, comme la Ligue n'est pas terminée, c'est l'équipe B qui est alignée. L'entraînement prime sur le prestige d'une victoire alors Montejano et Vieira prennent place aux postes de latéraux, malgré leur faible niveau de Défense, Schacherl et Molino joueront Ailier.

 

Pour compléter ce 442, Paquis et Andraccio ont pour mission de... jouer les bouche-trous ? Et de délivrer des caviars à Polit et Aubrun.

 

Une seule solution pour espérer faire qqchose, jouer la CA. Mais les niveaux de Défense et d'Attaque ne sont pas assez puissants... Bronshtein s'amuse avec Montejano et réussi un Hattrick, une seule CA est déclenchée (certes, elle fonctionne) mais c'est trop peu !

 

Le résultat est sans appel ; 7-3

Les données du match "revanche" sont identiques : il reste un match en Ligue. Et c'est LE match à ne pas perdre pour TTL face à Headymaloo FC, pour resté invaincu.

 

Alors on renvoie l'équipe B.

A cela près que Paquis est débarqué et remplacé par celui qui revient de blessure, Olesen. Et que Aubrun jouera plutôt vers le milieu pour relever le niveau.

 

Le véritable changement vient du FC paco, qui, de manière incompréhensible, passe d'un 352 efficace à un 253 manquant d'humilité. Bronstein retrouve le milieu de terrain alors qu'il avait largement dominé son aile en attaque, le capitaine Balaguer disparaît de la feuille de match, tout comme l'ailier Hortola qui avait fait tant de mal au premier match.

 

Mickaël Aubrun colle un doublé et Molino y va de son but, le troisième pour le club, et Wattel, le tireur de coup-franc du FC paco, en envoie trois soit au raz des poteaux soit dessus : 3-1

Afin de stopper l'éternel flot de question quant au remplacement de plus en plus urgent d'un Petar Dubajic vieillissant, le président fait venir un Italien de presque 37 ans, Antonio Paganini.

 

Son CV affiche 4 matchs en Hattrick Masters, et c'est sensé rassurer tout le monde...

Pour la belle, Coach Mrkajic joue son dernier match... Et il peut aligner une équipe avec un vrai milieu et une belle attaque, délaissant la défense... En même temps, il y a un entraînement Passe a assurer.

 

En jouant sur les ailes, Mrkajic a eu du nez. Les deux premières attaques sont transformées, 2-0 au bout de 14 minutes ! La suite est moins flamboyante... Le FC paco réduit le score mais perd Hortola, remplacé par l'expérimenté Balaguer en défense. Un mal pour un bien finalement.

 

L'osé 253 du coach fait chanceler l'organisation de l'équipe mais elle réussi à être en tête à la mi-temps : 3-1.

Et elle garde son avantage jusqu'à la fin malgré la réduction du score en fin de match : 3-2

 

Fin de règne pour Živadin Mrkajić, après 8 saisons en temps qu'entraîneur (S68 à S75), en remportant deux titres de DV, une montée en DIV et un dernier titre en DVI pour faire revenir TTL à un niveau plus proche de son standing.

 

La passation de pouvoir se passe à la salle des fêtes du club et la lourde tâche de pérenniser le club en DV, voire de le faire monter en DIV est proposé à Domenico Gasbarra, qui rechigne à arrêter sa carrière si jeune (moins de 32 ans), mais fini par accepter : "Je suis un défenseur latéral, et la relève est là, alors je m'efface."