Comme la saison précédente, l'équipe ne passe pas le premier tour de Coupe... De peu, diront certains. Mais avec 3 occasions générées, pouvait-elle attendre mieux ?

En ligue, à la mi-saison, l'équipe compte déjà quatre défaites (2X plus que l'année précédente) contre trois victoires.

L'entraineur tape du point sur la table et, sans recruter, il fera relever la tête à une équipe au bord de la crise : cinq victoires et deux défaites, presque inévitables contre Papish et Rouffiac.

Je rate même de peux l'exploit en ne perdant que 2-1 à domicile contre le 1er lors d'un derby toulousain dont on se souviendra longtemps.

Mais ce n'est pas Papish qui monte mais bien Kroteam, qui arrache son ticket lors de l'ultime journée, boutant Papish hors du second strapontin dans un match à sens unique (4-1).

Rafa termine avec 8 buts au compteur et Freddie avec 11, se plaçant à la 4ème place du classement des buteurs. Pour ma part j'accroche la 4ème place également lors de l'ultime journée.

Concernant la formation, une nouvelle fois, c'est un échec. Huit matchs amicaux manquent au calendrier, autant de match en moins pour le trio maudit, Rubelli, Abdi et Baucells. Stridquist n'est pas à la fête non plus, Bergondo faisant une saison honorable (10 matchs/4 buts) et Stralsund grappillant on-ne-sait-comment quelques matchs (5 matchs/1 but). Par contre, un milieu s'affirme de plus en plus (les supporters ne nommeront les 3S) : Šesták, Szymik et Saccucci. Même si ce dernier donne régulièrement des signes de fatigue chronique...

En fin de saison, trois joueurs font leur arrivée dans l'effectif : Eidutis Nenartas, Mosé De Florio et Artur Zaradkiewicz.

Mais un autre changement de taille apparait, c'est le départ de Doriano Gaetti. Il est remplacé par Josef Oberdorfer, un Autrichien de 60 ans, déjà entraineur de deux équipes par le passé.