La Nougayork Arena ne pouvant accueillir toutes les demandes des supporters, elle est agrandie et passe de 16.000 à 20.000 places.

 

L'inter-saison est donc marquée par l'arrivée de deux artistes du ballon rond, l'italien  Giuseppino Fagnini et l'espagnol Cèsar Portugal. Le but est simple, rajeunir un milieu vieillissant. Mais la mayonnaise ne prend pas, les vieux expérimentés donne plus de satisfaction à l'entraineur et un milieu de 24ans, auquel personne n'avait fait attention lors de son arrivée en début de saison 35, commence à faire parler de lui : Marcel Šesták. Les deux stars, encore une fois achetées cher, sont éclipsées et ne joueront qu'à une seule reprise ensemble.


Beaucoup de supporters attendaient l'équipe au tournant en Coupe, et ils ne seront pas déçu puisqu'elle passera encore une fois le premier tour en allant battre chez eux les... imbattables (3-1).

Mais lors d'un second tour malheureux (Zahariev expulsé, Rocha blessé), l'entraineur avait misé sur l'effet de surprise (et ne croyait pas du tout aux chances de qualification de son équipe) et c'est donc une équipe B qui se présente sur la pelouse du Nougayork Arena.

 

Les 20.000 spectateurs encourageront jusqu'au bout leur équipe, qui passera de peu à côté de l'exploit, ne perdant que 2-0 et se permettant même de dominer les deux mi-temps (55%).

 

Il se raconte du côté de St Aubin (quartier toulousain) que l'entraineur aurait été vu errant dans la ville et mangeant son chapeau jusqu'aux dernières coutures...

 

Valentin Zahariev quitte l'équipe lors de la mi-saison, ne résistant plus aux sirènes de la DVII allemande. L'équipe perd un bon attaquant mais y gagne 2 millions d'euros. De quoi se consoler...

Un défenseur (Vély, un échec) et deux milieux (Roiz et Del Mazo) l'accompagnent.

 


Le gros point négatif est l'infirmerie, rarement vide plus de deux journées d'affilée...


Tout cela n'empêche pas l'équipe de finir troisième, n'étant dépassée que par les deux équipes se tirant la bourre pour le titre, Lost On Earth et les bodybulldogs, équipe qu'elle avait pourtant battue l'année précédente.

 

Les progrès sont plus que visibles, l'ambiance est au beau fixe sur les bords de la Garonne. Le stade est de nouveau comble et trop petit, le président décide de rappeler l'entreprise de bâtiment qui avait fait les travaux lors de l'inter-saison. Le club se dote d'un outil à la mesure de ses ambitions : un stade de 30.000 places.

 

Et les ambitions sont clairement affichées. Ne sont conservés que trois attaquants, Harte, Mongrell et Hoogzaad. Plusieurs joueurs à la valeur marchande intéressantes sont vendus : Rocha l'ailier, les milieux Portugal (un an au club et un déficit de presque 300.000€) et Christiansson (who ?) et un attaquant, Ticacala, pourtant chouchou du manager de par ses origines péruviennes.

 

Avec l'argent récolté, on voit arrivé pas moins de 7 joueurs : deux ailiers, Marsili et Stridquist, et cinq milieux de terrain, Rubelli, l'espoir italien, Saccucci, son compatriote, Baucells l'hibèrique, Szymik, le diamant venu de Pologne et Mounir Abdi, recruté en région parisienne.

 

Les montants de transfert donne le vertige : au total, ce sont pratiquement 3 millions qui sont investis.

Les anecdotes de la S38

 

- Les 3 blessures de Böcz

 

- Le départ de Navarro. Oh...

 

- La vente de Portugal, et la perte astronomique ! -342.000€ pour une saison, 2 matchs officiels, aucun but.

 

- Pour l'inauguration de leur nouveau stade, les joueurs se trouent, et n'offrent pas le cadeau espéré...